Description
La consommation de substances psychoactives entraîne un ensemble de risques propres à chaque produit, majoré en cas de cumul, avec un coût sanitaire et social considérable.
Ces risques peuvent survenir à tout moment de la périnatalité : en ante-conceptionnel, pendant la grossesse (RCIU, MFIU), le développement du fœtus (SAF, action sur le SNC, action tératogène), apparition d’un syndrome de sevrage pour le nouveau-né et conséquences ultérieures pour l’enfant.
L’identification des consommations permet de :
• Penser un accompagnement pour la patiente et son enfant à naitre
• Adapter le suivi médical de la grossesse aux risques possibles
• Coordonner un projet de soin adapté en lien avec les autres professionnels (addictologue, gynécologue, obstétricien, anesthésiste, acteurs de la PMI, pédiatre, etc…)
• Limiter ainsi les risques maternels et néonatals (Cf. fiches spécifiques)
• Induire un changement de comportement des futurs parents
Lorsqu’un professionnel de santé rencontre une femme enceinte, en situation de vulnérabilité, et notamment consommatrice de substances psychoactives, il existe une tendance spontanée à vouloir solutionner tous les problèmes observables. Cette attitude est appelée « réflexe correcteur » et peut être contreproductive dans un processus de changement de comportement. Il est fondamental de développer l’alliance thérapeutique et de favoriser l’adhésion au suivi.
La qualité de l’accueil, le positionnement du soignant dans la relation d’aide, la confidentialité les mots choisis sont autant d’éléments déterminants pour susciter l’envie de revenir et l’idée qu’une aide est possible. Ces conditions sont à garantir à chaque rendez-vous.
Après un rappel des effets de la consommation sur la grossesse et le nouveau-né, cette formation propose, à partir de cas cliniques concrets, d’identifier l’attitude et les mots à privilégier pour interroger et discuter les consommations de SPA, tout en préservant l’adhésion du couple au suivi.
Enfin, cette formation présente les acteurs ressources de la prise en charge des consommations de SPA et invite à une réflexion sur les indications et les bonnes pratiques pour orienter vers un réseau spécialisé.
Ces risques peuvent survenir à tout moment de la périnatalité : en ante-conceptionnel, pendant la grossesse (RCIU, MFIU), le développement du fœtus (SAF, action sur le SNC, action tératogène), apparition d’un syndrome de sevrage pour le nouveau-né et conséquences ultérieures pour l’enfant.
L’identification des consommations permet de :
• Penser un accompagnement pour la patiente et son enfant à naitre
• Adapter le suivi médical de la grossesse aux risques possibles
• Coordonner un projet de soin adapté en lien avec les autres professionnels (addictologue, gynécologue, obstétricien, anesthésiste, acteurs de la PMI, pédiatre, etc…)
• Limiter ainsi les risques maternels et néonatals (Cf. fiches spécifiques)
• Induire un changement de comportement des futurs parents
Lorsqu’un professionnel de santé rencontre une femme enceinte, en situation de vulnérabilité, et notamment consommatrice de substances psychoactives, il existe une tendance spontanée à vouloir solutionner tous les problèmes observables. Cette attitude est appelée « réflexe correcteur » et peut être contreproductive dans un processus de changement de comportement. Il est fondamental de développer l’alliance thérapeutique et de favoriser l’adhésion au suivi.
La qualité de l’accueil, le positionnement du soignant dans la relation d’aide, la confidentialité les mots choisis sont autant d’éléments déterminants pour susciter l’envie de revenir et l’idée qu’une aide est possible. Ces conditions sont à garantir à chaque rendez-vous.
Après un rappel des effets de la consommation sur la grossesse et le nouveau-né, cette formation propose, à partir de cas cliniques concrets, d’identifier l’attitude et les mots à privilégier pour interroger et discuter les consommations de SPA, tout en préservant l’adhésion du couple au suivi.
Enfin, cette formation présente les acteurs ressources de la prise en charge des consommations de SPA et invite à une réflexion sur les indications et les bonnes pratiques pour orienter vers un réseau spécialisé.
Objectifs généraux
Au cours de la formation les participants apprendront à :
• Identifier les effets de la consommation prénatale de substances psychoactives sur la grossesse et le nouveau-né,
• Aborder et repérer, lors des consultations, les consommations à risque chez les femmes enceintes et les jeunes parents
• Accompagner les personnes pour initier et/ou poursuivre une prise en charge par les acteurs ressources.
• Identifier les effets de la consommation prénatale de substances psychoactives sur la grossesse et le nouveau-né,
• Aborder et repérer, lors des consultations, les consommations à risque chez les femmes enceintes et les jeunes parents
• Accompagner les personnes pour initier et/ou poursuivre une prise en charge par les acteurs ressources.
Prérequis & public concerné
La consommation de substances psychoactives (SPA) entraîne un ensemble de risques propres à chaque produit, majoré en cas de cumul, avec un coût sanitaire et social considérable.
Ces risques peuvent survenir à tout moment de la périnatalité : en ante conceptionnel, pendant la grossesse (RCIU, MFIU), le développement du fœtus (SAF, action sur le SNC, action tératogène), apparition d’un syndrome de sevrage pour le nouveau-né et conséquences ultérieures pour l’enfant.
Aussi, tout acteur en périnatalité doit systématiquement aborder cette question avec la mère ou le couple à chaque consultation gynécologique (contraception, IVG, frottis, pré conceptionnelle…), obstétricale et/ou pédiatrique :
• Lors de la 1ére consultation, de la déclaration de la grossesse, du bilan prénatal,
• De l’entretien prénatal précoce et de toute consultation de suivi de grossesse,
• Des échographies,
• De la préparation à la naissance,
• En cas d’hospitalisation ou à l’occasion d’un accident périnatal, fausse-couche, RCIU, MFIU, malformations ou à l’occasion de toute naissance.
Cet atelier s’adresse donc à tous les professionnels susceptibles de recevoir en consultation des femmes enceintes ou des couples de jeunes parents.
Public concerné :
- Infirmier (IDE, IPA, IPDE)
- Masseur-kinésithérapeute
- Médecin généraliste
- Gynécologie médicale
- Gynécologie obstétrique
- Pédiatre
- Psychiatre
- Pharmacien
- Sage-femme
Ces risques peuvent survenir à tout moment de la périnatalité : en ante conceptionnel, pendant la grossesse (RCIU, MFIU), le développement du fœtus (SAF, action sur le SNC, action tératogène), apparition d’un syndrome de sevrage pour le nouveau-né et conséquences ultérieures pour l’enfant.
Aussi, tout acteur en périnatalité doit systématiquement aborder cette question avec la mère ou le couple à chaque consultation gynécologique (contraception, IVG, frottis, pré conceptionnelle…), obstétricale et/ou pédiatrique :
• Lors de la 1ére consultation, de la déclaration de la grossesse, du bilan prénatal,
• De l’entretien prénatal précoce et de toute consultation de suivi de grossesse,
• Des échographies,
• De la préparation à la naissance,
• En cas d’hospitalisation ou à l’occasion d’un accident périnatal, fausse-couche, RCIU, MFIU, malformations ou à l’occasion de toute naissance.
Cet atelier s’adresse donc à tous les professionnels susceptibles de recevoir en consultation des femmes enceintes ou des couples de jeunes parents.
Public concerné :
- Infirmier (IDE, IPA, IPDE)
- Masseur-kinésithérapeute
- Médecin généraliste
- Gynécologie médicale
- Gynécologie obstétrique
- Pédiatre
- Psychiatre
- Pharmacien
- Sage-femme
Équipe pédagogique
Cette action de DPC est animée par un binôme de sages-femmes expertes dans l’accompagnement coordonné de patientes vulnérables, notamment celles confrontées à des consommations de substances psychoactives
Possibilités de prise en charge
Eligible à la prise en charge DPC pour les Masseur-kinésithérapeutes ; Sage-femmes ; Médecins spécialistes : gynécologie, psychiatrie, pédiatrie, médecine générale ; Infirmiers : IDE, puéricultrice. Action n° 90622425010
Accessibilité
Si vous êtes en situation de handicap, merci de contacter notre équipe : FormationsRPO@perinatalite-occitanie.fr pour faire le point sur les adaptations nécessaires.